Sexe et sons

[ Avertissement : ce texte contient une scène de sexe explicite]


Quand tu me murmures que c'est l'heure de la Séance, un frisson me parcours l'échine. 

L'excitation se mêle à l'appréhension. 

Je suis en sous vêtements et tu poses le bandeau sur mes yeux. Le bruit doux du tissu qui glisse sur la peau de mon visage me fait frissonner. 

Tu me demandes de tendre les mains pour me passer les menottes. Je tremble d'impatience. Quand le cuir mord la chair tendre, je ne peux retenir un gémissement que tu réprime d’un “chut” contrarié. 

Je suis maintenant aveugle et entravée, à ta merci. 


Tu me fais mettre à genoux. 

Je m'exécute sur le parquet froid. 

Je t'entends bouger autour de moi. J'essaie de deviner ce que tu fais. Je t'imagine en train de t'habiller, de préparer les accessoires nécessaires. 

La position est inconfortable. J'ai mal aux chevilles. Mais je suis Ily et Ily ne se plaint pas. 


Tu me demandes alors de me mettre dans la position de la première photo d'Ily. 

Je sens ta main sur mes fesses. Tu cherches à savoir si ce début de Séance m'excite. 

Lorsque tes doigts frôlent mon sexe, ils y découvrent plus d'humidité que prévu. Tu sembles surpris… Et cette surprise fait monter mon désir d'encore un cran. 

Tu retournes à tes préparatifs. Je patiente, le visage sur les mains. Je ne peux m'empêcher de sourire. 


Après quelques caresses, tu me fais lever. Tu m'embrasses. Mais tu refuses que je te touche. Je suis à la fois frustrée et terriblement excitée. 


Quand tu me fais monter à quatre pattes sur le lit, je ne sais pas à quoi m'attendre. Mais j'ai une telle confiance en toi. Mon cœur est gonflé d'amour. 


Tu promènes la plume sur ma peau, je frissonne. 

Puis vient le moment de la cravache. Je serre les dents dans l'attente du premier coup. 

La morsure du cuir sur mon cul est si délicieuse que j'attends déjà le deuxième coup. 

Je ne sais pas combien de coups vont pleuvoir. Je ne les ai pas comptés. 

Mais je mouille comme une folle. Je te veux encore plus qu'avant. 

Tu me caresses un peu. Tu me rapproches du bord du lit. Je sens ton odeur si proche. Celle de ta queue. Quand tu la portes à ma bouche, je te lèche, te suce avec avidité. 

Je n'ai toujours pas le droit de te toucher. Je suis terriblement frustrée. 


Je ne me souviens plus pourquoi mais tu estimes que je suis une vilaine fille. Je me retrouve couchée en travers de tes cuisses. 

Ta main s'abat sur mes fesses. Douce et ferme. J'adore cette sensation. 


J'ai enfin le droit de te toucher. Je me jette sur ton torse pour sentir ta peau sous mes doigts. 

Tu me couches sur le dos et tu reprends ta place en moi. 

Mon Dieu que j'aime ça…. 


Ton soupir quand tu poses ton gland à l’entrée de mon sexe humide. Le mien quand tu le pousses à l’intérieur de moi. Ma respiration qui s’accélère. 

Le bruit sec de tes couilles qui frappent mon périné me rend folle, plus peut être que la sensation de ce va et vient viril. Plus je gémis et plus tes mouvements se font secs. Et c’est un cercle vicieux : plus tu sens ma cyprine couvrir ta queue, plus tu as envie de me prendre fort. 

Pendant quelques instants, dans la chambre, ne retentit plus que ce claquement humide de nos deux sexes l’un dans l’autre. 

 

Tu me fais mettre à quatre pattes. Ta bouche prend le relais de ta queue. Ta langue sur mon clito. Puis plus haut sur cet endroit si sensible pour moi. Et là je perds définitivement le fil de nos ébats. 

Tu m'enlèves les menottes. Et, à ma demande, tu prends possession de mon cul comme tu as déjà possédé tout le reste. 





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