En barque
Il lui a promis une balade en barque sur le canal et un pique nique dans les hautes herbes pour le dîner.
Elle s'est préparée, fébrile : une robe légère à fines bretelles et des sandales à talons hauts. Quand le vent soulève sa jupe, il dévoile la dentelle immaculée de sa culotte.
Il l'attend sur le ponton, vêtu d'un short et d'une chemise en lin. Son sourire éclatant lui donne des frissons.
Après l'avoir embrassée, il lui tendit la main pour l'aider à monter dans la frêle embarcation.
En silence, il rame jusqu’à un petit îlot à l’abri des regards.
Elle frissonne d’excitation. Elle le regarde à la dérobée. A chaque fois, elle surprend ses yeux fixés sur elle. Sur ses lèvres, sur ses seins, sur ses jambes. Elle se sent nue. Mais elle aime cela.
Il descend le premier et attache la barque à l’amarre. Elle en profite pour mater ses fesses musclés à travers son short en toile. Elle sourit à l’idée de les prendre à pleines mains quand il la serrera contre lui.
Il installe une couverture au sol et y pose le panier pique nique.
Le ciel rougeoie. Il y aura sans doute du vent demain mais pour le moment tout est calme.
Elle ôte ses sandales et vient s’assoir à ses pieds, les jambes repliées sous elle. Elle lève le visage vers lui. Il se baisse légèrement pour caresser sa joue du bout des doigts. Dans un geste spontanée, elle pose la main sur son sexe déjà à l’étroit dans le short. Il frémit.
Alors elle oublie toutes les convenances. Elle tire sur ce short qui ne lui résiste pas. Il ne porte pas de sous vêtement. Sa queue se dresse fièrement à quelques centimètres de son visage. Elle se redresse un peu et pose ses doigts sur son membre gonflée. Elle passe sa langue sur ses lèvres, avant de le prendre dans sa bouche.
Elle le suce d’abord doucement, puis de plus en plus fort comme si sa vie en dépendait. Il gémit, tremble.
Au bout de quelques minutes, il se recule et se laisse tomber à genoux près d’elle pour l'embrasser fougueusement.
Ses mains parcourent son corps, baissent les bretelles de sa robe jusqu’à découvrir ses seins tendus par le désir. Il délaisse sa bouche pour mordiller ses tétons durs. Elle retient à peine un soupir quand ses doigts se glissent sous la dentelle de sa culotte pour la prendre.
Il la couche sur la couverture, ôte sa robe puis sa culotte. Elle est à présent nue sur la couverture, caressée par la brise du soir.
“Je vais te prendre aussi fort que tu es belle !”
Quand leurs sexes se rencontrent enfin, quand sa queue si dure pénètrent sa chatte trempée, elle crie. Un cri de jouissance. Sans retenue. Elle voit son sourire à travers ses yeux mi clos. Un sourire bestial qui lui rappelle à quel point leurs corps sont faits l’un pour l’autre.
Le soleil se couche au loin et leur corps à corps se poursuit pendant un long moment encore.
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